Vous hésitez entre un show privé ou une cam gratuite ? Suivez le guide, on vous explique tout !
Le monde merveilleux de la sexcam se divise en deux catégories : le live traditionnel avec des shows privés et les free cams, comme sur UfancyMe, où les shows se déroulent en public. Deux salles, deux ambiances, pour des univers à la fois proches mais radicalement différents dans leur fonctionnement. On fait le point ensemble et on vous aide à choisir le live qu’il vous faut.
La première camgirl de l’histoire
L’histoire de la webcam sexy remonte au tout début d’internet. Quand les connexions étaient lentes, bloquaient votre ligne téléphonique et que vous étiez content quand deux pixels apparaissent furtivement sur votre écran à tube cathodique. Dans ce monde encore en construction, on pouvait déjà se connecter en 1996 à la webcam de JenniCam, aka Jennifer Ringley.
Cette jeune femme de 19 ans avait installé une caméra en permanence chez elle et vaquait à ses occupations, laissant aux internautes le plaisir voyeur de scruter sa vie en permanence. Petit à petit, Jennifer commence à dévoiler aux internautes un peu plus d’elle et de son intimité. On la voyait par exemple en sous-vêtements, se masturber ou même, parfois, amener un petit copain chez elle. Ces moments intimes deviennent alors très vite populaires sur la toile et attirent jusqu’à 500 000 visiteurs par jour en 1998 (un chiffre énormissime pour l’époque). Maline, elle commence à équiper sa maison de plusieurs webcams en couleur et à faire payer l’accès à son site. En monétisant ainsi l’accès à son intimité, Jennifer Ringley allait devenir tout simplement la première camgirl de l’histoire.
Les habitués de UfancyMe feront sûrement un parallèle avec l’expérience reallifecam voyeur d’Indriya qui, depuis le début de l’été 2018, se filme 24h/24 chez elle et permet même à ses fans de la regarder dormir.

La naissance du traditionnel
Flairant le bon filon, des plateformes se mettent en place juste avant le tournant de l’an 2000 pour simplifier la mise en relation entre les modèles de cam et les internautes, avides de jeter un œil dans ce nouveau trou de serrure virtuel. Des sites comme LiveJasmin voient le jour et deviendront plus tard des mastodontes du net. Leur principe n’a pas changé en 20 ans : donner accès via une webcam aux chambres de femmes en petite tenue, qui se déshabillent uniquement pour vous si vous acceptez de payer et de passer « en privé » avec elles. Le live traditionnel venait de naître.
Dorénavant des dizaines de milliers de femmes (mais aussi d’hommes, de couples ou de personnes transgenres) sont connectés à travers le monde et attendent que vous mettiez la main à la poche pour vous proposer des shows sexy… voire carrément hot (et bien plus !) en privé. Pour vivre pleinement cette expérience, vous devez forcément payer (avec un décompte à la minute). Si ce type de cam est historiquement le premier et le plus répandu dans les années 2000, il va se trouver un petit concurrent qui va vite prendre de l’ampleur : le live freemium.
Les premiers pas de la sexcam gratuite
Inauguré par la plateforme MyFreeCams en 2004, le modèle freemium s’inspire du fonctionnement des clubs de striptease : l’accès au show est gratuit mais il convient de donner un pourboire au modèle pour la remercier de sa prestation. Vous pouvez ainsi profiter à plusieurs du show, sans être forcé de dépenser tout votre argent. La proximité est aussi différente, vous n’êtes plus en tête à en tête avec la personne (même si la possibilité de partir en privé reste toujours possible) et vous pouvez vous contenter de vous rincer l’œil sans participer. C’est un peu comme assister à un peep-show.
Option plus traditionnelle, les free cams ont l’avantage d’être une porte d’entrée plus simple au live, proposant des shows spectaculaires et accessibles à tous les internautes majeurs. Un principe à moitié gratuit à moitié payant, qui démontre la richesse du genre. Son intérêt grandit auprès d’un public tous les jours plus important.

Deux salles, deux ambiances
Dans ce qu’elles proposent, ces deux offres ont une similarité : des spectacles sexy… ou carrément porno. Mais elles gardent un fonctionnement totalement différent. En effet, un show privé ne ressemble en rien à un show public. Ce sont deux ambiances qui trouvent une audience différente et rarement compatible.
Le traditionnel vous plonge dans une intimité que nous n’aurez pas dans le freemium : en tête à tête avec une cam girl, (votre webcam allumée ou non) sans personne d’autre que vous. Vous n’avez pas d’autre choix que lui dire ce que vous voulez qu’elle fasse. Ce live se vit comme une expérience à part entière et n’est pas très conseillé aux personnes timides.
La temporalité est aussi très différente. Avec un coût de plusieurs euros la minute, à moins d’être très fortuné, vous ne pourrez pas rester très longtemps avec le modèle. Ce qui amène un côté très masturbatoire au rendez-vous que vous avez pris. Pour en avoir pour son argent et calmer la tension qui se créé en cam-to-cam avec une fille, la masturbation reste la pratique la plus courante chez les utilisateurs du traditionnel.
A l’opposé sur UfancyMe, et même si des sessions privées sont toujours possibles, vous assisterez essentiellement à des spectacles en public qui peuvent parfois durer plusieurs heures. Tout aussi sexy, voire vraiment très chauds, ils sont accessibles à tous les utilisateurs, qu’ils aient un compte gratuit ou non (même si vous ne pourrez pas accéder au sex chat sans compte). Rien ne vous oblige à participer, ni à dépenser, mais pour le bon déroulement du spectacle, cela reste fortement conseillé.
Contrairement au modèle privé, ici, des milliers de personnes peuvent être connectées en temps réel pour assister au spectacle. La tchat room à droite de l’écran devient une zone aussi importante que la webcam. C’est là que les utilisateurs discutent et dépensent leurs tokens pour motiver les modèles.

Les free cams, là où le token est roi
Les free cams portent bien leur nom puisque vous accédez gratuitement à ces shows. Cependant, rien n’étant vraiment gratuit dans l’internet, pour faire avancer le live et récompenser les modèles, il convient de tipper, c’est à dire dépenser des tokens (des jetons virtuels) dans la room que vous aurez préalablement acheté sur la plateforme. Plus vous tipperez, plus vous aurez de l’importance pour la cam girl et vous pourrez lui demander ce que vous souhaitez (via le tip menu de UfancyMe par exemple). Sans cette monnaie virtuelle, les modèles ne pourraient pas être rémunérés et les shows n’existeraient tout simplement pas.
Le principe du freemium repose finalement sur cet accord virtuel. Comme dans le striptease, les pourboires servent de récompense : plus vous en donnez et plus vous pouvez “contrôler” la room et être “proche” du modèle. Et plus les utilisateurs dépensent ensemble, plus le show avance et devient spectaculaire.
L’ambiance dans la tchat room
Sur UfancyMe, il existe autant de shows qu’il y a de modèles. On part du soft (certains font la cuisine, écoutent de la musique avec vous ou discutent avec les viewers), à du très sexy (striptease, sextoys connectés, cosplay…) jusqu’au live carrément hard où la performance sexuelle est au cœur du spectacle.
L’ambiance des rooms est aussi radicalement différente que le modèle traditionnel. Dans ce dernier, le chat sert avant tout d’introduction aux utilisateurs avant de commencer un show privé. Mais dans sa version freemium, c’est un lien social entre le modèle et les utilisateurs. C’est ce qui apporte au live freemium son caractère si particulier, à la fois riche et interactif.
Finalement, quel live choisir ?
La vie est une question de choix et de goût(s), rien ne vous oblige à préférer un type de live à un autre. Si vous cherchez une forte intimité et une expérience sexuelle, le traditionnel vous conviendra mieux. Si à l’inverse, vous souhaitez vous amuser, partager, si vous êtes en demande de lien social ou de l’effervescence d’un show public… alors les free cams de UfancyMe vous tendent les bras.
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